Un peu d'Histoire
Les cartes à jouer et la Révolution : le roi, la dame et le valet
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Marianne
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De Marie Anne à Marianne
Le prénom Marianne provient de la contraction de Marie et Anne, deux prénoms très répandus au XVIIIe siècle au sein de la population catholique du royaume. Plusieurs reines les porteront (comme Marie de Médicis, Anne d'Autriche, Marie-Thérèse d'Autriche, Marie Leszczynska, Marie-Antoinette...).
A la fin du XVIIIe siècle, le prénom Marianne était très courant dans les milieux populaires, notamment parmi les filles de la campagne qui servaient dans les maisons bourgeoises.
Qui serait roi s'il y avait un roi en France ?
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Tout d'abord, il faut savoir qu'il n'y a plus d'héritier des Bourbons de France (descendants français directs de Louis XIV) depuis la mort du comte de Chambord, petit-fils du roi Charles X, le frère de Louis XVI. Il faut donc aller voir du côté des Bourbons d'Espagne, branche espagnole issue de Philippe V, petit-fils de Louis XIV et roi d'Espagne.
Le 220e anniversaire de la Révolution française (14 juillet 2009)
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En 2009 eut lieu le 220e anniversaire de la Révolution française. On considère généralement que la Révolution française débuta le 5 mai 1789, date d'ouverture des Etats-Généraux. Mais beaucoup considèrent que Louis XVI posa la première pierre de l'édifice révolutionnaire lorsqu'il rappela les anciens Parlements en 1774, ces mêmes Parlements qui avaient jadis tant entravé les réformes de son prédécesseur, Louis XV... Il le fit par souci de légalisme, dans une volonté de conciliation, pour mettre fin aux quatre années d'agitation qui avaient précédé et dont il ne pensait pas se sortir en recourant à l'autorité et à la violence. Mais en cherchant l'assentiment populaire, le roi tendit le bâton pour se faire battre. Le recul du temps nous permet de dire que ce fut une grave erreur stratégique, malgré ses bonnes intentions. Le chancelier démissionnaire Maupeou (qui les avait exilés sous Louis XV) eut cette parole prophétique en apprenant la décision : « Il est foutu ! ». Cette réflexion est annonciatrice des événements qui allaient perdre la monarchie, c’est-à-dire l’impossibilité de faire passer des réformes et la pression constante des Parlements sur l’autorité royale.